Participer à l’effort pour offrir un choix de travailleur éclairé dans les milieux de travail canadiens
Les recherches menées par le Congrès du travail du Canada, Léger et Nanos démontrent clairement que les opinions des Canadiens sur les syndicats ne sont pas reflétées dans les lois de l’impôt et du travail du Canada. Aucun autre pays ne permet plus aux dirigeants syndicaux de fonctionner comme ils le font au Canada.
Les dirigeants syndicaux canadiens ont un certain nombre de pouvoirs et de privilèges que leurs homologues ailleurs dans le monde n’ont jamais eu ou n’ont plus. Le programme syndical canadien est déphasé par rapport aux autres pays développés. Les travailleurs canadiens doivent être en mesure de faire des choix vraiment libres et éclairés. Ils ont besoin d’une meilleure protection contre les dirigeants syndicaux.
La politique publique canadienne est influencée indûment, et de façon inappropriée, par des cotisations syndicales déductibles provenant des employés qui peuvent être renvoyés pour non-paiement des opinions politiques et sociales d’un dirigeant syndical. Les Canadiens non syndiqués et syndiqués sont contre le système actuel. L’économie du Canada et la vie de la majorité des canadiens sont touchées négativement par l’impact des dirigeants syndicaux.
L’Institut pour la démocratie au travail du Canada a été créé pour être une voix pour le changement – une voix pour le respect des travailleurs canadiens, qui sont syndiqués, qui envisagent la syndicalisation ou qui sont contre la syndicalisation.